A l’école, Maulde passait son temps à discuter
La récréation était pour elle le moment le plus opportun
Qui finalement faisait la coupure des cours en ce temps commun
Et, profitait d’apprendre de ses camarades un intérêt particulier.
Chaque jour, Maulde passait d’une personne à l’autre
Ses camarades la regardaient elle manquait dans les jeux
Finalement du premier de la classe au dernier le dialogue était vers le mieux
Elle commençait à comprendre que la différence de chacun ouvrait une porte.
Le soir, lorsqu’elle rentrait de l’école, elle se rendait d’office vers son lieu secret
Elle en faisait don jardin où les arbres vers elle se penchaient.
Elle se rappelait le plus souvent que ce lieu avait été une friche
Elle n’avait pratiquement rien réalisé que de planter les légumes pour elle dits de riches.
Alors, elle pensait que cette terre était en sommeil
Soudain elle réalisa que cet endroit avait repris son droit
Et, l’avait transformé ainsi pour accueillir des êtres vivants
Qui simplement s’y nourrirais en le finalisant.
Les oiseaux, les insectes, les reptiles, y faisaient bon ménage
Il est vrai que c’était un lieu de passage
D’une beauté que nul ne l’aurait pu se l’imaginer
Dans cette richesse de ce vivant qui a su au bon moment le développer.
A l’école, Maulde faisait souvent cette comparaison
Elle se disait qu’elle s’adressait à la friche de ses camarades de classe
Il fallait puisait très profond pour faire sortir leur pensée au plus profond
Maulde, savait qu’un jour chacun serait dans leur vie à la bonne place.
A cette époque-là durant cet âge d’enfant
Les pensées étaient vagues et surtout entremêlées
C’est la discussion qui mettait à chaque fois un d’ordre vers l’avant
La phase cachée restait muette car elle se définissait.
Même de si loin, Maulde sait que ses camarades ne sont pas abandonnés
Elle a attiré toute cette confidentialité qui est devenue la cause de leur liberté
Peu importe la classe sociale qu’ils ont pris
Maulde les gardera au plus profond de son esprit.
Chacun a réalisé un parcours de vie d’excellence
Ils sont nombreux d’avoir eu cette chance
Maulde insiste depuis ce temps que dans une friche humaine
Il existe un modèle de perfection qui la rendra encore plus certaine.
C’est dans un dialogue simple sans questions que se développe la friche humaine
Parfois c’est elle qui vient vers vous pour s’assurer d’une cause lointaine
Cette dernière a suivi longtemps le parcours de cet être qui ne dit jamais rien
Mais au fond de lui ou d’elle elle sillonne dans son rang qui lui appartient.
Maulde disait le plus souvent sur ce fait
Que tu sois roi, président ou enfant
Il t’appartient de réaliser ton droit sur le devoir en toi pour le multiplier
Il sera alors possible de le rendre vivant tout simplement.
Le combat que tu y trouveras se dressera vers la paix
Tu y trouveras le mouvement de ce que tu lui as réellement apporté
Ta place est mobile et tu peux la modifier
A ta guise pour toi et autrui à la condition de ce droit acquis ou inventé que tu dois supporter.
L’acquis est un devoir de le préserver
Il est l’assurance d’une lutte qui avant toi en a été relevée
Il ne doit jamais être retiré
Il fait partie d’une histoire qui a régnée.
Si un jour cher camarade tu te sent offensé
C’est sur toi-même que tu dois convaincre une erreur enfouie, oubliée
Il t’appartient alors de la rendre sur tapis rouge
Tu y marcheras sur des pas qui ferons de toi la personne qui se bouge.