C’est n’est qu’une petite fiction entremêlée de pensée d’amour même si parfois la fiction peut dépasser la réalité, car personne en ce monde ne sait de quoi est fait demain…
Ne vous êtes-il jamais arrivé de vous mettre à place des fleurs, à veiller comme une Belle de nuit, à respirer comme une Hortensia, de rougir comme un Camélia ? Si c’est non, je vous invite à rentrer dans le jardin d’Anita Garden pour le vivre et surtout pour le croire.
*****
On dit souvent que nous sommes perdues dans nos pensées, non ? À rêver de celle que l’on aime le plus. Peut-être que tu devrais offrir une fleur à celle qui t’est destinée, qu’en penses-tu ? Ce songe m’effleura l’esprit pendant que je passais devant le n°8 de la rue de l’Arum dans la voiture de mes parents. Une rue digne avec ces belles maisons bourgeoises de Marguerite, village de trois-cents habitants et cette rue était celle où je venais en vacances, au n°16 chez ma grand-mère, Bérénice. Quinze jours à passer à m’ennuyer à planer et à papillonner entre deux bouquins sans fin. Or, la veille de mon départ, j’avais vu passer une jeune fille en vélo qui passait devant la barrière. Quand j’entendis soudain un bruit de métal. Je me précipitai vers le portail de chez ma grand-mère. Cette fille était parterre à essayer de se relever. Elle était gênée. Elle voulut repartir aussitôt, mais son la chaîne de son vélo avait déraillé. Je me suis rapproché d’elle pour l’aider. En ouvrant le portail, je lui demandai :
— Ça va ? Tu t’es pas fait mal ?
Elle posa son vélo à même le sol.
— Dieu merci, j’ai rien. Plus de peur que de mal.
— Je vais t’aider à mon avis, il a déraillé.
En observant son vélo, je lui dis :
— C’est bon vélo que tu as, c’est étrange qu’il ait déraillé.
Une fois la chaîne replacée, elle m’avait fait un beau sourire et ses yeux étaient d’un bleu si profond qu’ils m’avaient fait détourner mon regard du sien.
— Enchanté, moi c’est Violaine.
— Ludovic, ravi, Violaine.
— Je suis au n°16, si tu veux j’ai du citron glacé à la maison, prends ça comme ma manière de te remercier.
— Merci c’est gentil, si je peux aider, je sais pas si j’ai le droit, ma grand-mère est sévère, je peux rien faire à par lire.
— S’il te plaît, j’insiste. Dis-lui que tu chez Anita Garden, elles se connaissent très bien.
Au timbre de sa voix, j’avais compris qu’elle y tenait.
— Je vais demander. Au fait, t’as la télé ? Car chez ici, c’est interdit alors pour les ordinateurs et les téléphones ne m’en parles pas. J’aimerais bien regarder un film ? Je vais demander, mais c’est pas dit qu’elle accepte.
Après cela, elle avait des ronds comme des billes, l’air de dire… t’as pas de chance.
— Je vois avoir ça en stock et en plus j’ai du popcorn. Je t’attends.
Mamie avait accepté, étrangement alors qu’elle m’interdisait tout. Nous sommes alors partis dans cette maison où les fleurs et les plantes étaient toujours plus belles et luxuriantes que les autres.
Lorsque Violaine ouvrit le portique de chez madame Garden, je crois que je n’avais jamais vu autant de plantes de ma vie. Son jardin était tellement beau et sa mère tellement gentille que je suis resté un moment et pas devant la télé. Ce jour-là, je me sentis un autre un autre, au nom de Pensée qui s’était perdue à aimer une autre au nom de Violette.
* * *
Ne croyez pas nous autres les fleurs ressentons tout, chaque son, chaque vibration, chaque effluve de nos voisines et surtout les différencier. Il ne faut pas croire non plus nous autres savons refuser les avances de ceux qui sont bien trop gourmands. Je parle notamment de nos amis les arbres, tels que les Tilleuls ou les Chèvrefeuilles, mais n’en citons pas plus, je vous prie, ils risqueraient de nous voler la vedette. Non nous autres sommes précieuses à côté des géants des terres, car nous sommes là pour enchanter les cœurs, enchanter les âmes pour faire croître l’amour de certains et de certaines, comme le doux chant d’une mélopée, enfin plutôt du silence qui sépare les instants magiques entre deux êtres qui s’aiment fort. Nous autres écoutons leurs cœurs battre la chamade, nous ressentons leurs âmes vibrer où qu’elles soient et nous les voyons, au travers de nos pétales, briller comme nôtre Dieu à tous, le soleil. Ainsi débute, l’épopée, l’histoire d’un nouvel arrivant, Pensée qui a trop penser s’est donné une quête, aimer.
Au fait, moi c’est Bégonia le rouge et c’est moi qui vais vous raconter son histoire, car elle m’a touchée et en plein cœur enfin vous l’aurez sûrement compris que je n’en ai pas, du moins, pas le même que vous autres.
Elle m’aime, un peu, beaucoup, à la folie, passionnément, pas du tout… Elle m’aime un peu, beaucoup, passionnément. Mais pourquoi répète donc-t-il toujours la même phrase ? Pourquoi encore Pensée, me donne-t-il toujours le tournis avec sa pensée répétée en boucle, comme un mantra.
Il m’agace Pensée, mais comment lui en vouloir, c’est tellement beau l’amour, mais le pauvre, jamais il ne pourra aimer, c’est triste. Mais il ne faut pas trop le croire, car des fois, la vie nous réserve tellement de surprises qu’il arrive parfois qu’elle nous surprenne tous. Tellement qu’un jour je suis passé d’une couleur à une autre. Enfin, vous allez vous moquer de moi au lieu de me croire… Non, je ne plaisante pas, comment peut-on passer d’une couleur à une autre et surtout, du jour au lendemain. Eh bien moi, Bégonia, je vais vous révéler le pourquoi du comment et plus encore. Vous saurez tout sur cette pensée amoureuse qui nous a fait à toutes changer de couleur. Tellement que ma voisine Rose le rouge est passé à Rose le blanc et moi j’ai pris sa couleur passion. Depuis, c’est moi que l’on apporte aux femmes au lieu de Rose.
Loin de moi l’idée de ne pas les aimer, même si je trouve qu’elles sont merveilles, mais moi à l’origine, je n’ai pas de cœur et encore moins de la même couleur. Comme dire, c’est trop d’honneur pour moi, Bégonia le rouge.
Enfin et je dérive comme cette bouteille lancée à la mer ou plutôt cet appel à écrire des histoires sur nous autres les fleurs. Cela dit, revenons en notre Pensée, voulez-vous. Car la plus belle des histoires, c’est surtout la leur, alors que la mienne n’est que d’avoir changé de couleur, mais aussi de supporter le cœur des femmes, même si je suis toujours enchanté de cela.
Un deux trois nous iront au bois, quatre, cinq, six cueillir des cerises… Tiens donc ? Voici Violette, enfin et maintenant, elle ressemble plus à une pâquerette des prairies qu’à une Violette. Je comprends mieux paroles de Pensée. D’ailleurs pourquoi lui, il n’a pas changé de couleurs ? Étrange, plus encore surprenant. Je les trouve bien trop joyeux ces deux-là. L’un récite et l’autre chante sous mes yeux que, moi, Bégonia le rouge les observe du coin de l’œil, enfin de mes pétales pardon.
Mais pourquoi encore, je les déteste, mais ne peux m’empêcher de les regarder. Ils semblent tous deux si brillants. Mais que dis-je là ? Non c’est impossible… Moi, jalouse alors que j’ai le cœur de toutes les femmes ? Comment vous dire cela : Ja,-mais ! Quoique peut-être un petit peu envieux. Voilà, c’est fait je reconnais et je l’assume. Alors, oui je les envie. Même si j’ai le cœur de toutes, grâce au charme de Rose, plus encore de son effluve divin, enchanteur. Mais pourquoi donc, je me surprends à les surveiller. Surtout Violette qui trotte comme une enfant, alors que ce n’est une petite pâquerette des prés. Jalousie, comment se fait-il qu’un tel mot vienne me chatouiller les pétales comme les ailes des abeilles. Ils m’agacent ces deux-là. Surtout Violette, elle n’arrête pas de réciter sa comptine, tandis que Pensée récite son mantra. Tous me cassent mon ambiance. J’ai envie de les interpeller, mais je me retrouve face à la réalité des faits.
— Hé, toi ?!
— Un deux trois… quatre, cinq, six…
— Je sais, je sais… tu n’arrêtes pas, elles seront toutes rouges !
— Mais qui me parle ?
Quoi… et en plus elle est gonflée cette Violette. Je vais devoir changer de tactique et employer les grands moyens. Mais pour cela, il va me falloir l’aide de ma voisine Rose la blanche, car bien que j’eusse eu sa passion, je ne comprends toujours pas la leur. Je reviendrai donc, tiens-toi prête ma petite.
Enfin, je l’entends plus. Ouf, sauvée.
Face à Rose, je frappe.
— Qui est-ce, encore, je ne veux voir personne, c’est compris ?!
— C’est moi, Bégonia.
— Quoi ? Bégo quoi ?
Mais qu’est-ce qu’elles ont toutes aujourd’hui, j’insiste et frappe de nouveau.
— Ce n’est que moi, Bé-go-nia le rouge.
La porte s’ouvre ou plutôt les pétales blancs de Rose s’ouvrent.
— Mais il me semble te connaître enfin, presque ! Je reconnais surtout ce parfum. On dirait… mais oui, mais c’est le mien. Et cette couleur, mais c’est la mienne. Voleuse !
Les pétales se referment aussitôt.
— Va-t’en ! Pilleuse d’atouts !
Je ne comprends pas… mais non. Attends, c’est pas moi, c’est Pensée. Il n’arrête pas de…
— Trouve-toi des excuses si tu veux, avec moi cela ne prend pas ! Et puis que viens faire Pensée là-dedans, laisse-le en paix, lance-t-elle en même temps qu’une ou deux épines.
— Mais arrête donc, ça pique !
— Bien fait, ça t’apprendra à me piquer mes qualités.
Bon, visiblement ma voisine Rose la blanche n’est pas d’humeur, je vais aller taper chez mon ami Géranium.
Qu’il est radieux et beau dans son pot de granite. Je ne sais pas s’il a envie que je le dérange. J’hésite. Puis le vent vient me porter la citation de Pensée. Il m’agace de plus belle. Porté par ce courant d’air, je me lance.
— Bonjour mon cher Géranium.
— Tiens, tiens, mais c’est Bégonia le bl… mais que t’arrive-t-il ? Tu as rougi.
Mon espoir renaît de ses cendres, peut-être qu’il me croira si je lui conte mon histoire.
— Je ne sais pas si je dois t’en faire part de… je suis devenue bien trop romantique à présent et les aveux très peu pour moi, désolée du dérangement.
Le vent souffle plus fort et me porte le chant de Violette, comme s’il elle m’encourageait à me confier. J’hésite de nouveau. Timide. J’en deviens plus rouge encore quand je vois son feuillage plus vert que le gazon. Que dois-je faire ? Il m’a l’air bien trop silencieux. Peut-être qu’il attend, le premier pas. Mais moi, comme dire, on m’offre à présent. Non l’inverse…
De nouveau le vent souffle avec cette fois la parole, de Rose… Pilleuse de charme. Cette phrase vient se recueillir sur ses fleurs comme de fines gouttes de pluie. Ses pétales mon fond penser à celle du petit Pensée ce silence est d’or. Finalement, je vais rebrousser mon chemin. Gênée. Je crois que je l’ai dérangée… et avant de partir, il m’interpelle.
— Dis-moi Bégonia, j’aimerais t’écouter malgré les accusations de Rose. Je crois que tout le monde a le droit d’avoir une seconde chance, non ?
D’avoir entendu sa parole, m’avait réjoui, plus encore… m’avait fait réfléchir, moi, Bégonia le rouge. Je me rapproche de lui avec l’envie de me confier comme jamais.
— Je t’écoute Bégonia.
Tout a commencé quand j’ai croisé ces deux être hors du commun, je crois que c’est à cause de ce jeune du nom Ludovic qui, je crois, a été invité chez Violaine et depuis Pensée s’est mis à réfléchir méthodiquement. En suivant ce fut au tour de Pâquerette de fredonner comme si heureuse elle était. Enfin, c’est bien plus compliqué que ça. Car la réalité la voici avant que Pensée et Violette ne soient tous deux avaient passé un moment à nous observer nous autres les plantes. Je me rappellerai toujours quand Anita Garden de savoir limpide avait accueilli Ludovic.
Pour cela mon amie je te refais la scène, car loin toi tu étais.
— Bonjour, comment va ta grand-mère Bérénice, demanda-t-elle.
— Oh, vous savez… plus elle vieillie plus elle devient sévère.
Anita se mis à sourire.
— Décidément, on ne change pas une personne, si cela ne vient pas d’elle-même. Peut-être que tu devrais moins penser à partir de chez elle, Ludovic.
Ce dernier, regarda la jeune qui partir dans la cuisine.
— Vient avec moi, jeune homme.
Ainsi j’avais tout observé et quand madame Garden, notre propriétaire, lui avait fait visiter son jardin, ce dernier écoutait sa parole, comme si elle était précieuse. Puis, elle lui expliqua que la différence entre les roses, les jaunes, rose et rouge. Jusqu’au moment ou sur une table de jardin un sac de terreau était prêt à l’emploi pour bouturer les nouvelles plantes d’Anita Garden.
Pendant ce temps, j’entendis le sol vibrer en cadence, c’était la jeune Violaine qui arrivait avec un plateau et de la limonade fraiche. Elle arborait cette moue qu’elle fait souvent quand elle est heureuse. J’ai alors commencé à perdre mon feuillage tellement elle était solaire comme un tournesol.
— Et… ne me dit pas Bégonia que tu étais jalouse de leur relation ! s’exclama Géranium.
Son propos avait fait jaunir quelqu’une de mes pétales.
— Je commence à comprendre mon amie, mais je te laisse poursuivre.
Gênée, j’eus du mal à trouver mes mots. Mais au bout d’un moment la pensée de Pensée résonnait de nouveau et les pétales jaunes tombèrent au sol trois d’entre eux était presque passé du rouge au jaune et du jaune au crème. Puis, je poursuivi car j’étais vraiment agacé. Géranium, n’avait rien dit face à mon explication mais je ressentais qu’il avait l’air profondément troublé à cause de la chute de mes feuilles.
— Merci… qu’il eut répondit à la fille d’Anita pendant qu’elle lui tendit un verre de citronnade.
Et tu ne me croirais pas si je dis qu’au fond de moi j’étais en train de bouiller comme peut buller les bulles de ce contenant jaunâtre madame Garden les laissant tout deux ensembles et repartant elle leur proposa :
— Violaine tu pourrais apprendre à bouturer à ton voisin, non, je vais préparer le gouter ?
La tête qu’avait ce jeune m’avait fait rougir de colère, mais pourquoi ! Pourquoi, suis-je jalouse de ces deux êtres… aide-moi, je t’en supplie Géranium.
Mais Géranium, ne savait que dire et il me laissa de marbre, seul et jalouse. Visiblement je devais me débrouiller autrement. Il fallait croire que j’avais moi aussi envie d’aimer, mais loin de moi, l’idée de réciter ou de chanter cette comptine, je devais trouver ma voie, mon credo pour le plus être rouge, mais blanche comme une colombe. Ainsi, je me retrouvai à nouveau avec Violette et sa comptine qui m’insupportait et me faisais plus mal encore que les épines que m’avait lancées Rose la blanche. J’avais tourné plus de sept fois mes pistils entre mes pétales et avait fini par l’aborder, cette fois-ci, différemment :
— Oh, un, deux, trois, re-voici Bé-gonia ! Tu veux jouer avec Pensée et moi, on serait si content que tu aimes la vie comme nous l’aimons, me proposa Violette.
À cela, j’avais eu le hoquet !
— Hic… hic…
— Bego est-ce que tu m’aimes… un peu
— Hic-hic, avais-je coupé et répondit rouge de colère, alors là, pas du tout !
Pensée pencha ses pétales en regarda l’herbe qui semblait plus verte de côté de Violette et se dirigea vers elle :
— Allons aimer la vie avec Rose la blanche, ça te dit Violette ?
Violette chanta :
— Un, deux trois, allons-y bel ami… trois quatre cinq lui donner des cerises.
— À plus tard, Bégonia et profite bien, on sera chez Rose la blanche, car je l’aime, un peu, beaucoup…
Je sais, je sais : à la folie, hic… hic…, avais-je fini sur un brin d’ironie.
Moi, je n’ai personne et encore moins vous deux et pire encore pour Rose la blanche. Finalement, je ne préfère pas changer de couleur et le rouge me va si bien, mais étrangement, quand les hommes m’offraient à leur femme et non plus d’envie d’aimer, mais me pose sur là sur leurs balcons. Comme si j’étais rien de plus qu’un objet divers, mais pas d’amour et cela m’agaça de plus en plus, et je me mis aussitôt en chanter moi aussi :
— Il m’aime un peu, beaucoup, à la folie, passionnément ou point du tout.
Enfin et c’est ce que j’avais cru penser quand j’entendis cela de la douce Violaine qui avait fredonné cela en même temps qu’elle bouturait avec le voisin. Qui termina avec :
— Si je devais choisir dans ma manière d’aimer ce serait à la folie, jusqu’à même me perdre à aimer.
Violette mains dans le terreau avait touché celles de Ludovic, timide. J’avais compris ce pour quoi j’en étais devenu jalouse… Je voulais moi aussi être aimé par les hommes. Enfin, je retrouvai mes amies les plantes et vous ne devinerez jamais ce qu’il était arrivé, Rose était revenue la Rose passion et moi j’étais revenu la plante que je voulais rester, une belle plante aux pétales retombante. Et, Rose m’avait dit :
— La jalousie dans le monde des fleurs ne doit pas exister, car quel que soit ta nature, tu seras aimé. Alors maintenant que la paix et revenu, je vais te révéler un secret Bégonia :
“Les plantes les plus aimés sont les plus simples à regarder, car leur beauté restera bien plus longtemps, car elles poussent toujours et ne se font jamais cueillir. Et quand elles se font offrir et elles sont grandement apprécié surtout si elles sont offertes avec le cœur.”
Ainsi ce termine cette histoire de la pensée de Bégonia qui s’était tellement perdu à aimer qu’elle en fini par devenir rouge de jalousie. Et moi, j’aime trop être et non paraître, merci à vous de vous être arrêté dans le jardin d’Anita Garden. Et peut-être que vous trouverez vous l’amour au printemps tout comme Violaine et Ludovic…
Quant à nos deux ados qui s’étaient séparés durant de longues années, se retrouvèrent bien plus tard, sur une allée de cyprès dans le sud de la France, l’amour les avait réunis de la même manière que peut se terminer un conte de fées.
Fin
Un joli conte, on se laisse volontiers embarquer.