Je me rappelle de nos notes acidulés, fraîches comme jamais tout comme nos échanges doux et frais comme la rosée du matin.
Je me rappelle de nos précieux moment à gazouiller comme des petits oiseaux comme deux ados en plein effervescence.
Je me rappellerai toujours de cette éternelle interlude qui pris fin comme soudain, et je me plonge à penser à demain,
Je me rappelle j’avais eu un lys et toi un cœur en or, mais je ne peux me soumettre à cela, alors je demande mains jointes pour que tu sois sélectionnée pour demain.
Car tu dois savoir qu’une grande sélection se présente pour libérer les peuples sages qui garde espoir en demain.
Je me rappelle ces nombreux coucher de soleil miroité comme si tu m’attendais demain, je suis cet homme qui pourra peut-être t’apporter un message divin.
Ne cesse de garder espoir, car mourant je suis et garde de nous un souvenir enfantin, jusqu’à ce que tu me vois dans l’autre monde, comme un grand roi.
Pour toi si belle décibel j’écris ces mots pour que jamais tu saches que je ne t’oublierais.
Et donc à demain mais pas sur terre enfin et tu verras bien que destinée tu es.
Signé un inca perdu dans un bitume sans fin.
Éternel interlude, une bonne définition du grand amour que jamais on n’oubliera. Bravo pour ce texte!
Merci à toi Christophe 😉
C’est un très beau texte !