J’avais un besoin chaque jour
De me promener sur le même chemin,
Et, durant ce parcours,
D’aller et retour j’y réaliser un simple refrain :
Parfois, il représentait mon état général
C’est ici que s’arrête une importance
Il s’agit de comprendre au mieux le service de l’influence
Ce sentier abîmé par le temps, me préparait pour m’éviter l’infernal.
Par mon métier de base
J’ai bien été formée dans cette voie?
Je devais manifestement faire table rase
Sur les produits que l’on me demandait
De bien vouloir les faire disparaître en plus que parfait.
Très jeune…dans cette insouciance je m’y suis appliquée ;
Surprenant d’ailleurs le magasin de bien vouloir l’abandonner.
Lorsque je coupe une corde bien que solide,
Il n’est plus possible d’en faire une étoffe valide.
L’influence a marqué fortement ma pensée
Sa mesure devait en être modifiée,
Quitte à tout lâcher
Dans l’exercice de ma capacité.
C’est, dans ce grand écart
Entre mon histoire de vie et ma formation
Qu’il fallait prendre part
De mes propres convictions fixant mon orientation.
Je n’ai jamais été une personne influençable
Je vérifiais à chaque instant tout ce qui m’était consommable ;
La mesure devait être la plus juste
Elle doit permettre un ouvrage robuste
Celui qui s’affiche sans écriture
En l’appliquant sur forme ceinture.
L’influence ne s’accorde
Sur l’assurance d’une aide que l’on aborde.
L’influence est dans son excellence
Lorsqu’elle affronte la réflexion d’une chance
Son service est alors honoré
Il accueille sa bienvenue dans la sobriété
Approuvée elle devient son université
En observant son efficacité.
Ceux qui n’y croyaient pas, s’en sont appropriés
Pour en faire certainement une autre société.
L’argent, la finance, le marché
Ne collaborent jamais dans son milieu
Ils sont très au courant de leur pratique exagérée.
C’est l’humain qui doit orienter ses voeux.
L’influence insiste simplement
Sur un modèle non-marchand.
Il devient le support, haut dans sa fondation
Qui lui seul, permettra l’économie vers sa fonction.