C’est dimanche, ma tranquillité est enfin une réalité
Toutes les ondes négatives contre moi en sont obstruées.
Je suis simplement dans ce que l’on appelle le néant
J’ai décidé ce jour de le rendre vivant.
Je pense désormais au présent
Hier j’étais dans le passé
J’ai parcouru la nuit noire pour m’éclairer
Elle est pour moi un élément sacré de ce temps
Je me suis endormie dans mes erreurs
Que j’ai su parfaitement réparer
Elles ont été bien sûr mises à l’épreuve pour consolider un bonheur
L’organisation m’a évidemment coûté.
Depuis ce passé maintenant lointain
Je reviens sur ce présent qui m’intrigue sur ma conscience
Elle arrive dans ce temps en qualité de témoin
Maintenant deviendra-t-elle un bon critère de mon innocence.
Oui, être consciente sur preuve de mon ignorance
N’ayant pas eu certainement les moyens efficaces
De m’informer dans cette raison d’absence
La moquerie venue d’ailleurs prends maintenant une place.
Lorsque cette plaisanterie se multiplie durant des années
Mes yeux se sentent involontairement aveuglés
Sans le savoir l’erreur m’a été cachée
Je m’y suis faite piégée.
Je me rends compte depuis fort longtemps
Que l’on me trompe sur de faux arguments
La tromperie n’est pas égale à l’amour
Elle devient inférieure car ce détournement s’effondrera un jour.
Ce qui n’ai pas l’égal sur cette magnifique nature
Elle est amour et son cadre est loi puissante du présent au futur
Je radieuse ce jour d’apprendre cette bonne nouvelle
Elle m’est confirmée sur carte posée bien que spirituelle.
Ce qui explique que l’erreur mise en place sur plan
D’une manière volontairement consciente pour détruire une ce qui est juste en vérité
Sera frappée sous peu dans l’espoir de rendre cette faute grave inutile dans cet élan
L’univers même pollué se défend à chaque instant de ces gestes incompétents vérifiés.
L’erreur volontaire accompagnée de complicités
Ce plan en sera forcément rejeté
La nature prend soin de sa création
Son enseignement puissant n’en fera aucune objection.
Ce plan a été voté par des complices
Je fais partie de ce monde de malices
La preuve en est aujourd’hui
Chacun devra en payer la cause de ce mauvais produit.
Ce marché hors sol que je n’ai jamais voulu
Va désormais me conduire vers la famine
Cette cruauté est une arme où je m’y suis allongée dans l’absolue
L’horreur m’annonce à cet instant une imposante mort qui se dessine.
Alors j’attends patiemment cette dernière
Elle vient vers moi pour me condamner sur ma misère
Certes, je sais que je partirais très longtemps
En amusant la galerie qui m’en a fait tous détriments.
Brûlée ou enterrée dans ce monde immature et infantilisé
J’aurais la joie de me rendre cette fois utile
Je diffuserais dans mon plus profond deuil inauguré
Le savoir qui m’a été transmis de manière subtile.
Très agréable à la lecture ! Simple, mais beau.
Merci et heureuse de votre plaisir.