Lorsque le vent secoue son réveil, elle le suit.

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Elle ne voulait plus écouter

Elle éviter tous ces reflets

Qui n’étaient que des ondes égarées

Mais qui se répétées à tout jamais.

Elle voyait des personnes courantes, affolées

Elle voyageait dans leurs mouvements pour les sauver

Enfin sans mots, sans regards éperdus, sans fil de conduite

Elles prenaient leur temps très certainement sans leur donner suite.

Lorsqu’une personne venait lui parler

Son écho de voix lui était si loin

Elle lui balbutiait que pour elle tout aller bien

Elle ne recherchait plus ce contact qui simplement se questionnait.

Les lives, les journaux, le cinéma, l’actualité

Lui arrivaient comme des sons, des images dépassées

Elle ne croyait jamais dans ces voies du déni

Pour elle, elle soulignait simplement leur déficit qui ne sera jamais gratuit.

Elle apercevait des rires qui en fait n’en étaient pas

Ils venaient d’un simple plaisir qui parlait tout bas

C’est bien au moins ils évitaient le pire

Peut-être qu’ils recherchaient à s’en démunir.

Elle entendait la pêche le fruit du commun

Elle était avalée dans une impasse 

Elle nourrissait une gorge dans une crevasse

En bref elle maintenait le support de cet être qui ne fait qu’un.

Elle était si petite en taille que ses yeux n’effleuraient la vision de sa hauteur

Ma fois pensait-elle, la prise de vue n’a pas besoin d’être plus haute que soi

Alors bien placée, elle voyait des hommes très certainement se planifier des émois

Ils ne savaient pas qu’ils étaient aperçus ainsi dans toute leur splendeur.

Ce simple plaisir de ce type n’était pour elle de la terreur

Ce sexe si affamé lui affirmait qu’il n’y avait pas d’erreurs

Il finirait en sa totalité dans un bateau au large d’un océan brûlant 

Il perdrait son avantage dans ses larves qui en sortaient de ce monde gluant.

Elle savait que tout cela se multipliait

Toutes les graines étaient rejetées

Malgré cela elle voyait la population augmentée

Les médicaments factices pour cela étaient ordonnés.

Cela dure depuis des temps tout ceci

Personne, non personne s’inquiète de toutes ces conneries

Le sexe, le fléau de la liberté de mai mille neuf cent soixante huit

A fait naître la traditionnelle tromperie de ce temps la horde de la nuit.

Elle se rappelait cette époque était le modèle inconditionnel

Son absurdité la traduit dans la langue de ceux qui s’y sont pliés sous tutelle

Les rivières, les fleuves, les arbres, les forêts en sont tous et toutes brisées

Aujourd’hui la mer comme l’océan reçoivent les effluves de cette pollution non méritée.

Elle, qui était si proche du vent de son inconscient

Elle se voyait le devoir de flâner dans cette turpitude dans ce vague tournant

Elle prend soin de ne jamais se tromper de direction

Elle tient la main de ceux qui aimerons bâtir un autre horizon.

Le vent lui secouait souvent son réveil

Elle attendait peut-être cet instant sans appareil

Elle dormait dans ce silence de cette nuit

Où elle vît ce vent venir lui tenir compagnie.

  

 

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