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Acheter de la bière de mauvaise qualité, il y en a de la très mauvaise dans certains magasins, je ne vais pas citer de noms., décapsuler une bonne bière, faire l’échange… Verser la bonne dans un verre, la mauvaise dans la bouteille de la bonne et recapsuler.
Ensuite se siffler la bonne avec délectation.
Pour terminer observer si il/elle (ielle) s’en apercevrait.J’étais si petit et j’avais besoin de grandir, la faim me tenaillait. Devant moi se présentait un festin royal. Pour commencer, je léchai doucement ce petit bout de papier que l’on me présentait et je l’engloutis.
L’appétit vient en mangeant, dit-on, cette première bouffée de nourriture en appela une autre, un peu de paille. Quelle joie de s’y répandre tout entier, de croquer à belles dents de s’étendre, de grandir, encore grandir.
Le bois avait bon goût, mais il était plus difficile à croquer, je m’amusai d’abord des quelques brindilles qui traînaient, j’en avalai tout un fagot.
Tout autour de moi des humains m’applaudissaient me flattaient “qu’il est beau ce feu” lançaient-ils. Fort de ces encouragements je gagnai en puissance commençant à mordre les bûchettes que l’on me présentait au fur et à mesure.
Je rétrécis petit à petit mais gagnai en force ! Pour dévorer les bûchettes il fallait que je sois plus chaud, persévérant et endurant.
Les humains autour de moi m’apportaient de l’oxygène pour m’encourager. Je dévorai une bûchette puis deux… Quel régal ! Ils amenèrent ensuite de leur nourriture: des saucisses, du poulet, des brochettes, des patates. Mes langues tentaient de sortir pour les dévorer mais à chaque fois on m’en empêchait. Ils finirent par enlever toute cette nourriture que j’avais tant désirée.
On ne supportait plus de moi je m’affaiblissais. Puis les humains s’assirent autour de moi et recommencèrent à me nourrir. Ils se mirent à chanter, je ne comprenais pas leurs paroles, mais elles me rendirent joyeux et je dansai de belle manière sur leur musique.
Enfin quand la soirée fut bien avancée, on jeta de l’eau sur moi. Justice, juste ciel, à l’assassin au meurtrier on m’a coupé mes flammes on a dérobé ma chaleur… J’avais beau crier, personne ne vînt à mon secours, ceux qui m’avaient donné la vie me la reprenaient. Je perdis en force jusqu’à m’éteindre tout à fait.Au plus profond de moi, des atomes
Ces atomes sont les briques pour les molécules.
Les molécules se combinent pour former le vivant: des cellules.
Les cellules s’organisent pour constituer des organes.
La somme de ces organes s’assemblant me donnent un corps
Ce corps se situe dans ma maison.
Ma maison se trouve dans une ville
Cette ville assemblée avec d’autres donnent un département
Un petit ensemble de départements se nomme une région
Toutes ces régions font une nation.
Cette nation est située quelque part sur la planète Terre.
La planète Terre est un constituant du système solaire.
Le système solaire combiné à d’autres est quelque part dans la galaxie.
Si l’on assemble toutes les galaxie, on obtient l’univers.
AU delà de l’univers, qu’y a-t-il ? Je ne peux l’affirmer avec certitude, mais l’univers est ancré dans le temps.
Et le temps, il est ancré en chaque atome.Mince on a fait une boucle infinie ! En informatique ce genre de truc n’est pas terrible.
_Spiritisme_
Ils étaient réunis tous les cinq, avec la médium, autour de la table, se tenant tous la main. Dans la salle plongée dans le noir, il régnait un silence sépulcral quand tout à coup la médium se mit à incanter dans une langue que l’on avait pas entendue sur terre depuis bien longtemps.Tous retenaient leur respiration. On allait peut-être pouvoir entrer en communication avec la grand-mère. Les incantations grandissaient en intensité. Étrangement le premier symptôme qui se manifesta fut une disparition de toute odeur. Tout à coup, on sentit un courant d’air froid, et les trois bougies au milieu de la table s’allumèrent.
Aucun des cousins présents n’avait pu assister aux derniers moments de la grand-mère et ils avaient eu cette idée de recourir à un médium et on leur avait conseillé madame Sanchez, elle avait selon un ami, de bons résultats. S’ils arrivaient à rentrer en communication, ils pourraient entendre les derniers mots qu’elle aurait pu leur dire. Un conseil, un adieu, enfin… quelque chose, eh puis lui souhaiter une bonne vie dans l’au-delà avant de se séparer définitivement pour cette vie.
On entendit d’abord un murmure incompréhensible, puis on entendit clairement la voix de la grand-mère :
– Camille tu n’oublieras pas de me ramener du PQ quand tu iras faire les courses ! »En fait je pense avoir compris que ce qui est important ce n’est pas seulement le temps du récit mais beaucoup aussi les adverbes et tous les petits mots qui situent dans le temps.
dans la phrase qui suit, j’avais écrit “il y a deux mois” me référant au temps où la scène se produit:“Tout cela s’était produit à cause de Romane, une fille de notre classe. Une fille, mais quelle fille !!! Tout cela s’était déroulé deux mois auparavant.”
et en réécrivant au plus que parfait, je me suis aperçu que quelque chose clochait. Je ne pouvais écrire “il y a deux mois” dans le temps du récit principal, puisque le temps de l’écriture est certainement bien postérieur. et donc j’ai changé par “deux mois auparavant” ce qui a complètement facilité l’écriture.
Je ne sait pas si je me suis bien fait comprendre…
Tout d’abord, merci Ajax pour ta réponse, elle est plutôt complète ! (entre temps j’ai lu un peu de théorie, mais un exemple bien vivant est beaucoup plus parlant)
Donc le plus que parfait alterne aussi avec l’imparfait pour la description, les choses répétitives, les actions qui durent
“, mais ce dernier avait maintenu sa décision, car il était sûr de ce qu’il avançait” C’est là qu’étais mon plus gros doute.Cinq, Je suis dans mon bureau, la chaleur caniculaire ne m’atteint pas, j’ai installé un petit rafraîchisseur d’air.
Quatre, je me laisse aller sur la chaise, cherchant l’inspiration, va-t-elle venir ? Je dois me détendre peut-être.
Trois, peut être un début de voyage, j’ai ouvert ma fenêtre, de loin je vois un oiseau se rapprocher. Il doit être très loin.
Deux, cet oiseau semble immense, au fur et à mesure qu’il se rapproche, je commence à distinguer son amplitude.
Un ce n’est pas un oiseau, c’est un dragon, il va m’emmener au pays des rêves et de l’imagination. Il reste 5 secondes. FinPeut-être ai-je un peu triché car j’ai passé quelques minutes avant pour savoir sur quoi je pourrais écrire… Eh puis j’ai pris quelques secondes pour corriger les fautes à la fin.
