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L’amour vache et sado-maso ça existe.Mais on a le droit de ne pas aimer le fouet, les menottes et l’humiliation.
Sans tomber dans la complaisance, moi quand je n’aime pas, je ne dis rien, je n’aime pas et ça ne va pas plus loin.
Il y a une grande différence entre “je n’aime pas”et “c’est nul”.
L’important n’est-il pas d’écrire? Aucun d’entre nous n’est éditeur que je sache.Pour ne revenir à votre propos, je suis une vraie chochotte et je ne supporte pas la violence.
Et surtout l’esthétique de la violence, pour moi ce n’est pas du tout esthétique.
Ce n’est pas pour critiquer votre œuvre, (mon PC se déconnecte sans arrêt ce matin, pourtant rien du côté de la box).
Je publie temporairement de peur que ça recommence).Au passage, c’est presque plus rigolo de créer des petites conversations entre soi que de publier ou commenter des textes. Il va bientôt me pousser une langue de vipère!
Si ça se trouve, la raclure de bidet est un hacker et nous lit, enfin, je suis rassuré, il est plus du genre à pousser au suicide qu’à le faire lui-même. Vous avez vu comme je suis mauvaise langue,ça me défoule.Bonjour à tous les deux, j’étais sur la terrasse hier soir à écouter de la musique.
Je vois que Marie Lune a lancé les hostilités, 1er round.
J’ai été un peu lèche -cul à commenter un 2ème texte, mais c’est parce que mon approche est différente
Ces réactions m’intriguent.
J’ai beau lire plusieurs textes, je n’arrive pas à distinguer les maçons des Flauberts.
D’ccord avec Marie, je ne comprends pas l’expression poser une dalle.
Lui me dirait que j’y comprend que dalle.
Ne m’en voulez pas, c’est le matin et je m’échauffe.Marie Lune, vous ne devriez pas vous culpabiliser. Vous êtes spontanée, ce n’est pas la même chose qu’avoir une “grande gueule”, vous êtes généreuse, ce qui revient à prendre des risques face à ceux qui sont avares. Comme je vous l’ai dit ailleurs, on se fout des fautes d’orthographe ou de grammaire, ce qui importe, c’est d’avoir des choses intéressantes à dire et avec panache.
Ne vous flagellez pas, moi j’ai plaisir à voir quelqu’un qui s’expose. C’est trop rare!
Vous êtes ce que vous êtes et n’avez de comptes à rendre à personne.
Amitiés sincères, et que peut-on faire, des fourmis dans l’infiniment con.
