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C’est une nouvelle, La Dame de Pique.
Dans la version poche, il y en a plusieurs, toutes aussi chouettes.
J’ai délaissé les classiques quelques années pour des polars.
C’est pourquoi aujourd’hui je m’en suis lassé, j’ai donné des cartons entiers de romans contemporains, je n’ai gardé que les classiques que je relis à mon rythme.Merci de m’avoir confié tout ça.
En fait le blog me sert uniquement pour la sauvegarde et le copier/coller.
Cela ne me dérange pas qu’il n’y ait aucun lecteur.
Je publie mes textes sur Wiki, We Love Words et Facebook.
L’intégralité de ma galerie est sur weonart (pseudo mschrome).
Je te rejoins sur tous les points, j’écris comme je peins, c’est à dire d’une traite, sans rien corriger (sauf les fautes quand je les vois).
Autant te dire que je ne m’impose aucune contrainte ni quelque projet que ce soit.
Les phrases s’enchaînent et je n’ai aucune idée de ce qui va se passer ensuite.
Le récit se construit de façon automatique, sera triste ou gai, ou sérieux, comme si je ne maîtrisais rien.
Ce qui veux dire que j’écris tout d’un jet, comme quand je peins une toile.
Dans les 2 cas, je ne peux m’y prendre en plusieurs fois.
Je n’ai pas ta facilité pour écrire des vers, je l’ai eu autrefois.
Enfin, je laisse venir.
Le maître mot: PLAISIR, peu importe que cela plaise ou pas.
Amitiés et merci de m’avoir répondu.
Tu mènes ton projet comme tu l’entends, c’est l’inspiration qui nous guide.Marion devait bien reconnaître que le piège était grand.
Ne voulant faire de mal à Jehan, elle ne pouvait le vaincre.
Éperdue dans sa course et ce décor de cauchemar, elle savait qu’il la poursuivait.
Se battre contre lui, c’était le perdre à jamais.
Elle ne voyait qu’une solution, seule sa mère pouvait la sauver.
Ses pouvoirs étaient bien plus grands, elle en était certaine, mais où était-elle?
Maman, où es-tu?Au bord du lac, les chevaliers n’eurent guère de repos.
Ils durent affronter les pires créatures, tout en protégeant le Roi.
Ce dernier agitait l’épée dans tous les sens, et les compagnons d’armes de Jehan finissaient le travail.Prise / chat / trottinette / gâteau / fou
Un fou en trottinette, tenant à la main le gâteau du dimanche, dut stopper net car un gros chat se trouvait au beau milieu du trottoir.
Le gâteau prit son envol, même emballé dans son carton enrubanné, il n’avait aucune chance.
Loin de s’excuser, le gros matou alla achever la victime à grands coups de langue goulue.
Le fou s’empara du gras minet sans sommation.
“Eh bien fiston, où est le gâteau?”
“J’ai mieux à proposer, ce midi je nous prépare un bon civet!”Pour qui sonne le glas.
Le glaçon est trop froid.
Froissé et pantois.
Pends-toi tout de suite, ça me f’ra des vacances.
Quand serons-nous des hommes.
Homards à volonté, et merde au peuple.
Peupliers alignés au cordeau.
Donnez-moi la beauté votre grâce.
Grâce à toi je revis.
Je revis mon père gisant sur le champ de bataille.
