Une jolie demoiselle, qui dans la rue marchait
Avait l’habitude des hommages.
Ce conteur là, par la belle alléché
Suivait en disant quel dommage
Et bonjour ce minois si beau
Tu dois être gironde à voir ton grain de peau
Si me semble, tu fais des ravages
Et cela sans du ratissage
Tous les gentils présents, me semblent aux abois
Entendant ces faveurs, la gentille y croit
Et ainsi pour montrer sa joie
Elle prête son sourire pour lui donner sa foi
Il n’a pris le meilleur, n’a besoin de son cœur
De son corps et de son ardeur
Lui suffisait pour continuer sa lie
La belle comprenant cet abus
Pleurât son sort et se reclût
De tous en beau parleur, le menteur se saisit.
Le corbeau et .. ah non, La belle recluse
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