Assez loin des romans, on s’est croisé sur site, sa taille et sa photo sur cette plateforme d’échanges, tout ça ne veut rien dire, on ne se refait pas.
Rien de bien romantique, je voulais du 3 D à la place du 2 D, plus par curiosité, qu’envie de rencontrer, ne connaissant sa ville, je propose de venir, et j’ai besoin d’un guide pour savoir ou aller.
Nous n’avons que parlé d’un peu de nos lectures, de certains goûts communs et d’apéros futurs, il n’y avait rien de plus, je n’avais aucun but si ce n’est voyager et découvrir sa ville. Elle avait décidé, en l’absence de son fils, que j’occuperais sa chambre, le temps de mon séjour en tout bien tout honneur, loin de moi toute idée, elle a dû me juger au fil de nos échanges, que j’étais acceptable en toute politesse.
Le temps d’un court voyage, qui a duré cinq heures, je sonne devant sa porte, en plein après-midi.
Je suis tellement surpris, ce n’est pas la photo, elle est bien plus jolie et bien plus souriante, mon sourire imbécile n’a pas dû la gêner, parce qu’elle me fait entrer consciente de son effet.
J’ai posé mon grand sac, dans la chambre désignée, lui offrant pour merci, un recueil poétique, d’écrits de mots d’amour, que j’avais acheté, la veille dans un marché, je connaissais ses goûts.
Elle s’offre à me faire voir, en attente de sortir, les vues de ses fenêtres, les bruits du voisinage, les quelques arbres en fleurs. A force de se croiser, dans ses couloirs étroits, mes doigts frôlent par mégarde, sa croupe généreuse. Nous nous tournons gênés, et par une folle envie, poussés par deux ressorts, nous joignons nos deux lèvres, enlaçant nos deux corps. A l’angle de nos deux chambres, doucement nous glissons sur son grand lit douillet, et me surprends à dire, on devait pas sortir ? On avait discuté de visiter la ville, je suis chez l’habitante, à visiter sa langue.
Je sais plus ou j’en suis, elle est nue sur le lit, m’oblige à faire de même, elle ronronne comme un chat, en frottant ses deux cuisses, nos yeux ne se quittant, semblant chercher réponse, du pourquoi de la chose.
J’ai caressé ses seins, je les ai embrassé, aussi jolis que ceux d’une petite femme enfant, qui n’aurais jamais eu, le fils qu’elle me disait. J’avais les mains tremblantes, de caresser son corps, la peur de m’éveiller, de mon rêve érotique. J’ai promené longtemps, mon regard et mes mains, tendant mon appétit, a l’écoute de ses sens.
D’un seul coup, elle se lève, et demande sourire, je n’aime pas qu’on me force, à mon tour de montrer, tu as été si doux, à que me caresser. Et je suis étendu, à regarder ses fesses, pendant qu’elle s’accroupit, à découvrir mon sexe. Elle en joue sans vergogne, comme si elle connaissait, ou il faut lui faire mal, ou il faut câliner. J’ai mal de tout mon être, je ne sais pas subir, je ne veux pas subir, je commence de l’index, à jouer avec le sien, me laissant un répit, quand elle râle de plaisir, je sens ses lèvres douces, qui s’ouvrent de temps en temps, dés qu’elle reprend son souffle, j’introduis le majeur, pour tenter de pauser, sinon je lui donne tout. Je vois ses jolies fesses, qui s’empalent sur mes doigts, dans un accès pervers, l’amour est t’il pervers ? J’introduis mes trois doigts, et comme électrisée, elle tombe sur le coté, relevant légèrement, la tête pour me voir, que je lise ses yeux, elle m’a enfin lâché, j’ai failli défaillir. J’introduis dans sa fente, quatre doigts de la main, elle lève les bras au ciel, je retire vite fait, elle me dit, ça fait mal, mais ça fait tellement bien, je t’en prie continue, c’est la première fois, que je ressens tout ça. Je souris de plaisir, j’aime beaucoup ce qu’elle dit, jamais je n’ai gouté, au plaisir du plaisir, sans avoir à laisser mon empreinte dans un corps.
Elle vient dans un élan, d’arc-bouter le sien, j’ai la main dans sa grotte, je ressens sa moiteur, et je me sens heureux, d’avoir rendu heureux.
Je me relève enfin, et j’écarte ses cuisses, je regarde sans comprendre, là ou j’avais la main, je m’agenouille entre elle, et j’introduis mon sexe, j’ai envie de lâcher, un peu de mon odeur, et je me sens surpris, de me sentir empris, par ses parois intimes, elle me tient par ses jambes, et j’évacue enfin, pendant qu’elle me regarde.
J’ai bien fait de venir, je décide de rester encore pour quelques jours.
Quelqu’un m’en a donné l’idée, ce n’est pas ce que j’aime, mais j’avais quelques textes cachés dans un dossier ^^ profitez c’est le seul que j’ose publier ^^
Coucou, ce n’est pas le genre d’histoires que j’aime lire, mais dans l’ensemble c’était bien écrit. Il y a quelques phrases mal construites, que j’ai du relire poir comprendre. Dans l’ensemble c’est fluide.
^^ merci, mais comme je disais ce n’est pas le genre que j’aime, je préfère survoler à poser des phrases bruts
Pour changer de sujet ^^ quoique il y a un tronc commun ^^ sauf la notoriété ^^ l’avant dernier Houellebecq, j’ai bien aimé l’histoire, par contre j’ai détesté ses perfides allusions et ses histoires de sexe, ça n’a rien à faire là. Je ne suis pas innocent ^^ mais les histoires biaisées, il y a des sites pour ça
petit sourire.
j’ai bien aimé et cela m’a fait sourire. Il n’est pas évident d’écrire ainsi. Mon recueil fut écrit parce qu’on m’avait défié. Une femme qui écrit des contes pour enfants, des histoires fantastiques pouvait-elle écrire de l’érotisme. N’aimant pas le grossier, je me suis amusée.
La sensualité est autant dans l’image que dans le mot, dans la symphonie que l’on écrit.
Merci pour ce joli partage.
Alvyane Kermoal @Alvyane Kermoal
si je te disais que j’ai écrits, et mon père écrivait des contes pour enfants ^^ tu vois ou ça nous mène ^^ je me sens mal barré ^^ je sais faire dans le genre, sans doute avec un peu plus d’assiduité, mais je n’aime pas vraiment ça ^^ ça me rappelle ma jeunesse et les romans de gare ^^ je lisais SAS, je ne sais pas si ça existe encore
j’ai lu des SAS, des brigades Mondaines… mais c’est en lisant Mirabeau que j’ai découvert les écrits érotiques. Brigades mondaines m’a montré que l’être humain était pire que je ne pouvais imaginer (les affaires étaient tirées de faits réels).
Ecrire comme on le sent, jouer des mots, je crois que c’est le plus important. Ton écrit est très loin des SAS et Brigades mondaines. Tu es plus soft. Si tu savais ce que j’ai écris… j’avais honte crois-moi. 😉
Alvyane Kermoal @Alvyane Kermoal
je sais que j’en suis loin ^^ largement en dessous, j’ai encore le souvenir de certains écrits… mais j’étais jeune alors ^^ si ça peut excuser ^^
L’important est d’écrire comme on le sent ? avec sa sensibilité.