Soupir las, coeur en peine, les larmes affleurent
Tes mots tournent, de tristes pensées me tourmentent
Suis-je vraiment, ô enchanteresse douleur,
Destinée à cette passion véhémente
Ou dans cette infinie tourmente, dois-je avoir
Un tel aperçu de l’Enfer et ses supplices ?
Suis-je condamnée à avancer sans savoir,
Aveuglée par cet amour, ô tendre délice,
Ou pourrais-je un jour apercevoir par-delà
Ces précipices de douleur et d’amertume ?