L’Immortel libre de ses chaînes, décide sans attendre de faire plusieurs explosions à Piltover mais la plupart se font arrêter grâce au Sénat qui est vraiment attentif.
Les conseils trouvent bizarre une telle attitude venant du Superviseur.
Ambessa Medarda qui est dans son bain se lève et se nettoie.
« C’est bizarre le Superviseur est très tactique, pas un dégénérer comme cette Jinx. »
« Ma seigneur, c’est les rapports qu’on a. » dit un de ses hommes.
Quelqu’un toque à la porte.
« Entre Bronya. »
Il rentre et les gardes le laissent passer.
Elle s’habille.
« Alors tu as fait l’arme. »
« Oui, elle est enfin prête à être utilisé. »
« Bien montre-moi tout cela. »
« Suis-moi. »
Bronya marche dans les couloirs du bâtiment principal avec la seigneur de guerre qui est gardé par ses deux gardes du corps.
Des Pacifieurs qui sont plus augmentés que les autres leur font face et ils dégainent leurs armes puis les pointes.
Medarda est surprise tout comme ses hommes.
Bronya continue et se tourne vers eux.
« Désolée madame mais on ne veut pas de Noxus, les Noxians doivent savoir où est leur place c’est-à-dire chez eux. »
Elle grogne et lui fonce dessus. Bronya fait un signe et les pacifieurs tirent en rafale sur les Noxians.
Personne ne survit et ils se retrouvent avec plusieurs dizaines de trous.
Bronya pose une rose bleue.
« La mort est mieux que l’hiver et que la tempête que vous apportez, votre mort apportera à Piltover que du meilleur, si cela peut vous rassurer. »
Ils partent et arrivent à côté de l’atelier de Victor, il voit Victor qui fait des expériences sur lui et il a un assistant qui est un golem.
Bronya fait signe et les soldats continuent de marcher. Il toque à la porte ce qui surprend Victor, il va pour s’expliquer mais il n’a pas besoin d’explication, il était venu pour donner un conseil.
Il se pose à côté d’une fenêtre sans dire un mot.
« Je ne veux pas d’explication mais je suis venue ici pour te donner un fait. »
Victor est surpris et l’écoute.
« Tu sais, le chemin de la transmutation est effrayant, j’en ai moi-même peur. »
Victor se met à côté de lui et il est surpris que cet homme si calme et froid dit ceci.
« Pourquoi ? »
« Car tu t’affrontes, tes peurs, tes craintes, ton passé. Si tu n’y arrive pas, tu tombes dans la folie et tu deviens une autre personne. Elle peut être follement bonne mais c’est très rare ou sinon le total inverse. »
« Donc vous avez peur de vous-même. »
« Oui »
Il est étonné.
« La robotisation aussi me fait peur. »
« Car tu t’affrontes aussi toi-même. »
« Oui mais tu t’affrontes certes mentalement mais aussi physiquement. »
Il le regarde intrigué.
« Qu’est-ce qui te défini comme un être humain si ton cœur et ton cerveau sont robotique ? »
Il comprend et il cherche une réponse à donner.
« Il n’a pas de réponse juste Victor car même si tu trouves une réponse scientifique, c’est la psychologie, un robot peut se sentir humain l’inverse aussi. Si tu vas dans les deux chemins vus ton état mental, je suis presque sûr que tu vas changer mais tu auras ce que tu voudras, de la puissance, de l’intelligence et du pouvoir. Mais toutes ces nouvelles compétences est-ce qu’ils valent le sacrifice de ta vie, ton humanité ? C’est cela que tu dois te poser comme question.
L’hiver est dur et tout le monde l’affronte un jour, humain ou pas, c’est juste la retarder ou avoir des qualités pour mieux l’affronter. »
Après ce discours qui dit en regardant la fenêtre puis Victor, il part de cette salle laissant seul Victor réfléchir.
Quelques heures plus tard, on a appris la mort de la femme guerrière, une réunion se fait et on choisit Camille comme chef militaire. Normalement c’était destiné à Bronya qui a refusé. Caitlyn a été mis sur l’affaire.
Vi n’y étais pas car Caitlyn a eu une idée et elle demanda d’aller voir.
Vi alla dans Zaun et traîna.
Sa terre natale l’avait manqué et elle fut surprise d’à quel point cette ville est devenue différente.
Avec Vander c’était une fratrie, Silco une débauche et avec Superviseur un carrefour culture car chaque quartier avait son thèmes.
Elle arrive dans le bar La Dernière Goutte. Tout le monde la regarde et Revolver fume tranquillement son cigare avec un verre d’un alcool fuchsia.
Elle arrive et se met au comptoir.
« Je voudrais Sevika. »
Sevika descend de l’étage et la remarque.
« Tiens regardé qui voilà là, cheveu rose. »
« Oh cowgirl, je suis venu pour toi. »
« Je tiens à dire que tu n’es plus ici chez toi, pars à Piltover sinon on te bute tout de suite. »
« T’en fais pas, je suis venu chercher deux personnes. »
« Si c’est des gens de Zaun, tu peux rêver. »
« Ma sœur Jinx et Trivial. »
« Désolé, j’en sais rien si je savais où était ta sœur, je l’aurai flingué avant toi. »
« Tu as dit quoi ?! »
Revolver tape son verre sur la table.
« Quoi, si tu n’es pas content, tu vas autre part cowboy. » dit Vi.
Personne ne réagit à sa réaction même Sevika qui a le sang chaud ne fait rien.
Elle comprend vite que cet homme est important.
Il boit son verre et le finit.
Il fait un signe et se lève.
Il pétune.
« Tu sais mieux que nous où est ta sœur vu que justement c’est ta sœur. Pour Trivial, tu risques ne plus de le trouver. »
« Et pourquoi ? »
Il rigole.
« Car tu crois qu’il ne sait pas que tu le cherches. »
D’un coup Jinx rentre et pointe de son arme Revolver ce qui surprend tout le monde et elle déclare.
« Je le cherche aussi alors dit moi où il se situe. »
Cette rentrée surprend tout le monde même Vi et les fait un peu paniquer en voyant la folle sauf Vi qui sourit en la voyant.
Revolver soupir.
« Qu’est-ce que j’y gagne si je vous le dis ? »
Jinx se rapproche de lui et met son arme sur son front.
« Ta vie. »
Il rigole et la regarde droit dans les yeux.
« Jeune fille. »
Il dégaine son arme en un éclair et pointe son cœur.
« Ne joue pas avec moi car c’est toujours moi qui gagne. »
Vi n’aime pas ce qu’elle a vu car il est très rapide et très adroit avec son revolver mais aussi un homme qui arrive à garder un sang froid hors normes même elle aurait eu du mal face à cela.
« Qu’est-ce que tu veux ? » demanda Vi.
Il réfléchit.
« C’est à vous de trouver car on a déjà tout. La drogue qui ravage votre ville, Superviseur qui pète un plomb et tente de tout détruire, une seigneur de guerre en moins ? C’est à toi de me vendre des choses car on a l’avantage. »
Les deux fous se fixent en attendant que le premier se déconcentre.
Vi réfléchit et s’énerve mais trouvé rien.
Sevika soupir.
« Même dans des situations aussi difficiles, tu joues. »
Sevika avait dit ceci pour débloquer la situation et aussi éviter les problèmes.
Vi et Jinx comprennent une chose depuis tout à l’heure, il s’amuse avec eux.
Jinx sourit car elle trouve cela amusant mais se calme car elle veut savoir qui est vraiment Trivial, elle retire son arme et se met proche de la porte. Cette réaction surprend Revolver qui en rigole.
Il regarde Sevika et ensuite Vi.
Sevika met une droite à la rousse qui se prend le coup, elle veut contre-attaquer mais ne fait rien.
Le joueur applaudit et fait signe de le suivre.
Les deux sœurs le suivent mais l’autre chef de gang curieux de savoir qui est cette personne le suit.
Il s’assoit sur un tabouret dehors et il rallume avec un briquet à roulette son cigare.
Sevika se met à côté de lui et les deux autres filles en face.
« Trivial affronte Warwick. »
La plus vieille regarde son camarade étonné.
« Mais il est fou ! Ce monstre est surpuissant. »
Il sourit.
« Oui car il a eu l’annonce de votre venue. »
« Comment cela ? » demande Vi
« Je vais être clair sur deux choses. Trivial a un rapport avec Superviseur. »
Vi grince de dent en entendant cela et Jinx s’en fout un peu.
« Deuxième chose, ce loup-garou est votre pire démon. »
Les deux le regardent intrigués.
« Vous comprendrez en temps et en heures. Ils sont dans l’entrepôt vers là-bas de toute manière vous risquez d’entendre des bruits d’éboulement si vous arrivez à temps. »
« À temps ? » questionne Jinx.
« Warwick pourrait le tuer. »
Cette dernière phrase terrifie les deux et elles courent directes pour rejoindre l’entrepôt.
Il écrase son cigare, Sevika le regarde.
« Pourquoi il fait ceci ? »
« C’est personnel. »
Il se lève.
« Bref, on a d’autres chat à fouetter, je pense qu’on a reçu des ordres. »
« Exact, tu es prêt ? »
« Tu sais déjà la réponse. »
Ils sourient et partent.