Comme ils sont beaux m’ont-ils dit!!!
Bizarrement j’en étais intérieurement ravi.
Mais tel un Gremlins qui mange après minuit,
Ils sont transformés et arriva les mauvaises nuits.
Les pleurs et les cauchemars nous ont réveillés
Les insomnies et les petites nuits étaient de rigueur
Les petits bruits dans le couloir me faisaient sursauter
Leur souffle lorsque je dormais paisiblement me donnait peur.
Puis vint le jour des journées des multiples activités,
Une course effrénée et tant de gouttes transpirées
Pour être à l’heure et ne pas se sentir coupable,
Et voir tous ces regards me traitaient d’incapable.
Tous ces nuits d’inquiétude lorsqu’ils sont hospitalisés
Où le découragement vous gagne et on se sent incapable
Heureusement il y a tous ces moments agréables,
Oui mes enfants, je les aime et je continuerais à les aimer.
Bonjour ! J’aime votre poème ( même si je n’ai pas trop compris ! )