Des semaines, des mois que je ne ressens rien,
Emoussement des affects.
Tu es arrivé,
Une connexion, d’âme à âme, de corps à corps.
De l’amour, du sexe, de la drogue.
De la haine, des remords, des regrets.
Tu es parti.
Des larmes, à n’en plus finir, une vague de tristesse.
Par la douleur, tu m’as guérie.
C’était bref, c’était nous, c’était beau.
Deux âmes perdues, deux esprits torturés.
Deux cœurs amoureux, écorchés, inadaptés.
Ah l’Amour, l’Amour existe…