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J’y suis, j’y suis ! Par contre, trop tard pour ton duel, je viens de voir ton message et j’ai fini d’écrire donc… 🤓
Elvira ne savait plus où donner de la tête. Elle devait absolument retrouver les deux hommes, mais sa vue était obscurcie par la magie noire des sorcières.
Et puis, elle ne savait même pas qui aller chercher d’abord.
L’Ange qui avait disparu depuis un certain temps déjà, mais qui était censé être invincible face à ces harpies ?
Ou bien le Magicien qui venait tout juste de plonger dans ce brasier incertain et dévorateur, mais qui était bien plus vulnérable ?
Elle n’eut pas besoin de tergiverser très longtemps, car elle les trouva côté à côté au même endroit, essayant de se défendre tant bien que mal, une main devant les yeux pour essayer de se protéger et d’y voir plus clair.
Elle fonça vers eux et déploya un puissant bouclier une seconde avant qu’un immense projectile n’y vienne heurter.
“Elvira !”
Les deux hommes se fendirent d’un sourire, mais soudain le visage de son Ange changea de tout au tout.
“Que fais-tu ici ? C’est un piège, tu sais très bien qu’elles t’attendent !”
“Je n’allais pas vous laisser ici ! Vous ne vous en serez pas sortis sans moi ! ” rétorqua-t-elle.
Elle remarqua le changement d’atmosphère une seconde trop tard.
Plus un bruit. Plus un projectile. Le silence, rien que le silence… Ce n’était vraiment pas bon signe, surtout lorsqu’elle vit un pli d’inquiétude se former entre les sourcils du Magicien, qui regardait quelque chose qui devait se trouver derrière.
“Alors, on vient enfin se confronter à nous, sorcière de pacotille ?”
La jeune femme se retourna doucement pour trouver face à elle l’Ordre entier, qui affichaient toutes un sourire méprisant et victorieux.Coucou ! Merci beaucoup. Je n’ai pour l’instant écrit que les deux parties qui sont publiées sur Wikipen, mais j’envisageai d’écrire la suite et ton retour positif me motive encore plus
🙂
J’ai moi même écrit ma première fanfiction pour ce concours ! C’était sur le site La Plume de Poudlard, non ?😉 Ca m’a donné envie de continuer. J’aimerais d’ailleurs bien lire la tienne ! En as-tu écrit d’autres par la suite ?
Oui, j’ai lu aussi que tu étais de l’Hérault, comme moi. J’en ai rarement vu ici comme tu le dis !
Bien sûr, je suis une grande fan de Harry Potter, j’ai même crée un site dessus. Je suis à peu près toute les actualités.
Et toi ? Suis-tu les évènements ? J’attends avec impatience la sortie des Animaux Fantastiques 3 pour ma part ☺Bien sûr, c’est demandé si gentiment Monsieur 😇
Le
**V** er à soie (J.K Rowling)
**E** ldorado (Laurent Gaudé)
**N** ymphéas Noirs (Michel Bussi)
**D** om Juan (Molière)
l’**E** nfer de l’amour (M.C Beaton)
**T** entation (Stephenie Meyer)
**T** ous les hommes n’habitent pas le monde de la même façon (Jean-Paul Dubois)
**A** ntigone (Anouilh)Je connais une légende sur le département de l’Hérault :
Le seigneur Saint martin de Londres souhaitait marier sa fille. Elle lui dit alors qu’elle épouserait le plus courageux des hommes qui se présenteraient. Trois seigneurs très amoureux de la princesse qui se nommaient Loup, Clair et Guiral, partirent à la guerre, afin de prouver leur bravoure. Quelques années plus tard, ils revinrent couverts de gloire mais malheureusement leur princesse était morte depuis.
Fous de chagrins, les trois frères chevaliers décidèrent d’un commun accord de vivre en ermites. Ils montèrent chacun sur l’un des trois monts formant un triangle autour du village. De leur pic, ils voyaient la tombe de la défunte.
Chaque année pour Noël, ils allumaient un grand feu que l’on voyait de la plaine et qui signalaient leur présence. Un Noël, il n’en eut plus que deux brasiers, puis un seul, puis plus aucune flamme. Les trois ermites étaient morts.En hommage à leur courage, les montagnes portent aujourd’hui le nom des chevaliers ermites. Celui sur lequel vivait Guiral s’est appelé Saint-Guiral. Celui sur lequel vivait Loup est devenu le pic Saint-Loup. Celui sur lequel vivait Clair, est devenu le Mont Saint-Clair.
Si, si moi !
Le fermier menait une vie tranquille et paisible. Il passait sa journée à l’ombre des bocages, à surveiller ses vaches et ses moutons. Il nourrissait ses chèvres et ses poules, et lorsque tout ce petit monde était rentré à l’abri, il cueillait des mûres et les ramenaient à sa belle qui en faisaient des délicieuses tartes. Puis le soir, ils s’asseyaient tout les deux sous le ciel étoilé, lui jouait de la guitare, et elle dansait, dansait en faisait oublier tous les soucis et ils emplissaient le soir de leurs rires joyeux.
