5. Lettres gabonaises, poétique des gestes.
6 mins 3 mars – Masuku tient ses songes entre les mains de la nuit. La Mpassa qui l’enserre habituellement de ses reflets fauves ne glisse plus, son grand flot noir parait immobile depuis le pont qui la traverse. Je m’amuse à me faire croire qu’elle en intente une imitation maladroite. La rivière verrait si souvent le […]