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Auteur AnonymeParticipant
Dans l’écriture d’une mythologie (ce que je suis en train de faire en ce moment pour un jeux de rôle) il y a deux types de personnage de dieux (voir trois pour moi), les dieux tout puissant qui créer le monde, qui n’évoluera pas, (dans ce qu’a je pense plutôt au dieux des religion monothéiste) je me représente ce genre de perso comme le père créature infaillible.
Ensuite, il y a des dieux types mythologie grec (hindou, les mayas, nordique, amérindienne…) eux ils vont évolue au tout début de leur existence puis arrêter quand l’Ordre du monde aura était mit en place, ils ont des tâches particulière qu’ils doivent effectuer pour le bien du monde, assez égocentrique, ils se battent pour des truc stupides (un humain, une invention, le nom d’une ville…). C’est le genre qui créer des héros pour se divertir et faire des paris.
Puis le dieu qui s’ennuie (est très proche de la catégorie précédente) qui est descendu sur terre pour y vivre et observer les humains et s’amuser. Il fait principalement ça pour se divertir voir exterminer le monde ou autre. Globalement, ils sont juste là pour voir comment ça va partir en sucette ou rattraper le coup à coups d’objet divin (que tôt ou tard perdre chez l’ennemis). Eux, n’évolue pas, ou peu mais il peut avoir un changement de mentalité au côté des humains (prise de conscience de l’importance de la vie ou des amis). On en voit régulièrement dans les séries ou les mangas (Lucifer, Good omen, Mirai Nikki…)
J’espère que ça t’as aidé. Perso je retourne faire les charadesign de mon panthéon. 😢
Auteur AnonymeParticipantAlors pour l’écriture, je ne pense pas être de bon conseil. Mais pour ta crise de ta trentaine… Sache que j’ai pas encore passé mon premier examen national que ça m’arrive déjà. J’ai des périodes de petites dépressions où je me dis que la vie n’a pas de sens, que ça ne sert à rien de vivre vu l’état de la Terre et tout, que je préférais vivre dans un des manga que je lis.
Mais je repense toujours, au bout d’un moment, aux superbes amis que je me suis fait dernièrement, à la chance que j’ai de pratiquer des choses très rares, de connaitre des personnes formidables et que mon devoir d’apprendre toujours plus et de découvrir.
J’ai qu’un seul trucs qui marche, vivre, sortir, rencontrer, pratiquer. L’avis des autres, ils peuvent se le mettre où je le pense (désolé de l’expression 😰), ils peuvent juger, dire ce qu’ils veulent et bien gardait leur !! On aura osé le faire nous au moins !!
Il faut faire des trucs fou, même si certains n’aimerons pas ou ne le valideront pas.
J’applique ça pour mes activités et mes histoires (ce qui ne m’empêche de prendre en compte l’avis des autres).
Essaie des sports (parachute, sport de vol, art martiaux (j’aime bien l’approche philosophique qu’ils ont), bateaux, plonger) va voir des spectacles parler avec des gens. J’ai la chance, à mon âge, de connaitre beaucoup de personne exceptionnel et faut profiter. Il y aura toujours des personnes moins sympa mais les perles, ça existe !Je pense que le sens de la vie, ce n’est pas la troisième à gauche ou 42. Mais les autres…
Auteur AnonymeParticipantArgh ! Je suis donc loin seule, je n’ai qu’une histoire ou j’ai trouvé une fin acceptable mais pour les autres….
Désolé les OC, je vais devoir vous tuer ou au moins vous arrachez un membre…..🥺👿Auteur AnonymeParticipantPersonnellement, j’ai une liste de prénoms et de noms que je trouve dans la vie courante que je note dans un carnet. Et quand j’ai un trou je regarde dedans (même si dans un recueil, il met arrive d’avoir d’un chapitre à l’autre, un cheval et un personnage seconde qui avaient le même prénom 😅)
Dans le cas de la fantaisy, je prend des mots et je les mixe… la plus part du temps ça marche… jusqu’à ce que je me rend compte que c’est une marque ou quelque chose dans le genre… mais la plus part du temps ça marche.
Auteur AnonymeParticipantPersonnellement, quand j’écris des histoires, les idées me viennent comme ça. Plus souvent après des spectacles (de rues, de danse, humour…) ou parfois même de mes cours et les paroles des gens qui l’entour. J’ai le plus souvent une longue période (a mon échelle journalière) avant de pouvoir écrire, ce qui me laisse le temps de tout construire, bien comme il faut avant d’étaler le tout sur papier.
Pour ce qui est du journalisme, c’est aussi ce qui décante de l’événement. Après la musique m’aide (souvant associer à des Amv ou des Gmv, court metrage avec musique courant sur YouTube) se sont un peu mes pense-betes pour les émotions que je cherche à faire ressentir.
Merci d’avoir pousser et repondu à cette question je l’ai trouvé très intéressante
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